Les habitants de Goma vivent actuellement vendre 28 mars 2025 sous la terreur des membres du M23. De nombreux jeunes hommes sont régulièrement flagellés pour des raisons souvent non vérifiées, l’accusation la plus courante étant d’appartenir aux FARDC.
Les agresseurs forcent leurs victimes à s’allonger au sol avant de les fouetter pendant plusieurs minutes, souvent en public.
Ces actes de violence, qu’ils soient réalisés en public ou en privé, créent un climat de peur tel que la population n’ose pas intervenir pour protéger les victimes.
Les habitants de Goma expriment leur indignation face à cette situation et appellent la communauté internationale à agir pour faire respecter le droit international humanitaire dans les zones sous contrôle du M23.
Amnesty International dénonce la brutalité de ces actes et souligne que la fréquence de ces exactions est alarmante.
De plus, il est difficile de recueillir des informations précises sur ces actes de violence, car les témoins et victimes sont souvent emmenés vers des destinations inconnues.