Le Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a pris une position ferme qui marque un tournant majeur dans la diplomatie congolaise.
Dans une déclaration claire, il a affirmé que le cobalt congolais ne serait plus livré tant que la paix ne règnerait pas à l’Est du pays.
« Si les États-Unis, avec le président Donald Trump en tête, s’intéressent à nos minerais stratégiques, qu’ils garantissent d’abord la sécurité à l’Est », a déclaré le chef de l’État, soulignant la nécessité de lier stabilité et exploitation minière.
Ce message met fin à une longue période où le Congo cédait ses richesses pendant que ses populations subissaient les affres de la guerre dans les provinces orientales.
Désormais, la paix devient une condition préalable à toute coopération économique ou stratégique.
Cette sortie du président Tshisekedi envoie un signal fort à la communauté internationale. Le Congo n’est plus disposé à être un simple fournisseur de matières premières au détriment de sa sécurité et de sa souveraineté. Il se positionne comme un acteur déterminé à défendre ses intérêts face aux grandes puissances.
En plaçant la paix avant les minerais, Félix Tshisekedi trace la voie d’un Congo responsable, fort et maître de son destin.
C’est un message de fierté nationale et d’indépendance qui résonne dans toute l’Afrique et au-delà.