Longtemps victime de la spoliation de sa parcelle dans la commune de Ngaba, à Kinshasa, le Professeur Rémy Musungayi Bampale, enseignant à l’Université de Kinshasa, ancien Député national et ex-Ministre de l’Industrie, vient d’être rétabli dans ses droits après plusieurs années d’un combat judiciaire éprouvant.
Cette victoire du droit sur l’injustice a été rendue possible grâce à l’implication décisive du Ministre d’État, Ministre de la Justice et Garde des Sceaux, Guillaume Ngefa Atondoko Andali, agissant sous l’impulsion du Chef de l’État Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, qui a fait de la restauration de l’État de droit et de la lutte contre les spoliations des biens publics et privés une priorité nationale.
Reçu en audience le mardi 4 novembre 2025, le Professeur Musungayi est venu remercier le Ministre d’État pour son rôle dans la résolution d’un dossier emblématique.
Malgré un jugement en appel rendu en sa faveur, il avait été déguerpi à la suite d’une décision inique exécutée au mépris de la loi et de ses titres de propriété.
« Grâce à l’implication du Ministre de la justice et à l’impulsion du Chef de l’État, j’ai pu recouvrer mes droits et récupérer ma parcelle injustement arrachée. C’est un soulagement, mais aussi une leçon d’espoir pour d’autres victimes », a déclaré, ému, le Professeur Musungayi.
Pour de nombreux observateurs, cette affaire va bien au-delà d’un simple cas individuel : elle illustre le retour effectif de l’autorité de l’État et la volonté du Gouvernement de protéger les citoyens contre les réseaux mafieux de spoliation qui gangrènent le pays depuis des années.
Sous la conduite du Ministre d’État en charge de la justice Guillaume Ngefa, le Ministère de la Justice multiplie les actions concrètes pour faire respecter les décisions judiciaires, sanctionner les abus et réaffirmer le principe fondamental selon lequel nul n’est au-dessus de la loi.
« La lutte contre la spoliation est un combat à la fois juridique et moral. Il s’agit de rétablir la confiance entre le citoyen et l’État, de montrer que la justice n’est pas une idée abstraite mais une réalité vécue », confie un haut cadre du ministère.
Cette issue favorable marque une étape importante dans la pédagogie de la justice, démontrant que l’État peut et doit protéger les droits légitimes de chacun.
Dans un contexte où les spoliations immobilières continuent de susciter l’indignation, le dossier Musungayi apparaît comme un cas d’école, un signal fort envoyé à tous ceux qui abusent de leur pouvoir ou manipulent la loi à des fins personnelles.
En redonnant sa parcelle à son légitime propriétaire, la Justice congolaise rappelle sa vocation première : rendre à chacun ce qui lui revient de droit, et garantir que la promesse d’un État de droit prônée par le Chef de l’État devienne une réalité tangible pour tous.
