Téhéran, capitale de la République islamique d’Iran, vit l’une des heures les plus sombres de son histoire. Selon plusieurs sources concordantes, l’aviation israélienne mène des frappes massives et coordonnées ce mardi 17 juin 2025, sur des cibles stratégiques à travers le pays.
Les infrastructures militaires, les bases de commandement, les centrales de communication, ainsi que plusieurs sites nucléaires sont réduits en cendres.
Les images en provenance de Téhéran montrent une ville en feu, plongée dans le chaos. Des explosions secouent les principaux quartiers gouvernementaux tandis que des colonnes de fumée s’élèvent au-dessus des bâtiments officiels.
Les sirènes retentissent sans interruption, et les habitants fuient vers les périphéries dans un climat de panique généralisée.
De leur côté, les États-Unis renforcent leur présence militaire dans le Golfe. Des bombardiers et des porte-avions s’approchent des côtes iraniennes, prêts à intervenir.
Washington pourrait déclencher dans les prochaines heures une offensive décisive, susceptible de porter un coup fatal au régime des Mollahs.
L’armée iranienne, déjà affaiblie par des mois de tensions internes et des sanctions économiques sévères, semble dépassée.
Des sources locales rapportent des désertions massives dans les rangs des forces armées. Le pouvoir central perd progressivement le contrôle de plusieurs provinces, où des soulèvements populaires éclatent.
La communauté internationale retient son souffle. Les chancelleries occidentales appellent à une désescalade immédiate, mais la dynamique semble irréversible.
À Téhéran, le régime vacille. L’Iran vit peut-être ses dernières heures sous sa forme actuelle.