Paul Kagame reconnaît enfin, vendredi 25 avril 2025, sous la pression de Donald Trump, ce qu’il nie depuis trente ans.
À Washington, son ministre des Affaires étrangères, Olivier Nduhungirehe, signe un accord de principe qui admet implicitement que le Rwanda agresse la République Démocratique du Congo. Les États-Unis valident ce premier pas et ouvrent la voie à de vraies négociations.
Pour la première fois, Donald Trump parle de ce dossier sur son réseau social Truth : « De grandes nouvelles nous arrivent d’Afrique. Je m’implique personnellement pour régler des guerres et conflits violents. Mon équipe et moi accomplissons un travail sans précédent. À suivre ! », déclare-t-il.
La RDC doit maintenant se positionner pour en tirer profit. Kigali accepte de signer un document qui souligne clairement le respect de l’intégrité territoriale congolaise, souvent violée selon plusieurs rapports de l’ONU. Cette fois, Kagame sait qu’en cas de non-respect, il s’expose à la colère de Trump.
Washington et Kinshasa imposent désormais leur agenda au Rwanda. Les négociations sur les minerais avancent vite. Kinshasa propose un accord « minerais contre investissements, développement et sécurité », qui séduit Trump. Il veut renforcer la présence américaine au Congo.
Les autorités congolaises doivent maintenant appliquer une bonne gouvernance, lutter contre la corruption et mettre fin à l’impunité pour attirer les investisseurs et développer le pays.
C’est une semaine décisive : le projet Lobito reçoit déjà 6 milliards de dollars d’investissement officiel. D’autres projets importants devraient suivre.