Le Président turc Recep Tayyip Erdoğan a présidé, ce mercredi 25 janvier 2023, le Conseil de sécurité nationale, au complexe présidentiel d’Ankara.
Lors de la réunion, les membres du Conseil ont évalué les actions politiques, militaires et économiques importantes pour la sécurité nationale de la Turquie en 2022 et les développements ont été évalués dans tous les aspects pour cette année 2023, avec les enjeux et activités possibles à mener dans ce cadre et des négociations sur des mesures à prendre.
Le Conseil a aussi évalué et pris des mesures contre toutes sortes de menaces que posent les organisations terroristes nationales, en particulier PKK/KCK-PYD/YPG, Feto et Daesh, à la Turquie. Des informations sur les opérations ont été fournies au Conseil ; autrement les démarches seront prises, la volonté et les préparations nécessaires sont complètement enregistrées.
Le Conseil national de sécurité a fait savoir que les organisations terroristes PKK/KCK-PYD/YPG et ses partisans, constituent un plus grand obstacle à la paix en Syrie et la prospérité du peuple syrien. A cet effet, le président Erdogan a décidé de leur élimination entière, basée sur l’intégrité du sol et la souveraineté de la Syrie. La réalisation d’une solution inclusive ouvrira la voie vers une paix permanente en Syrie, a-t-il ajouté.
Les membres du Conseil ont évalué les actions et les discours provocateurs continus de la Grèce, à travers l’armement, en spécifiant que leurs efforts n’apporteront aucun bénéfice au-delà de l’augmentation de la tension dans notre région. “Tout ce qui cible la sécurité nationale et les avantages de la Turquie, que ce problème ne sera pas autorisé en aucun cas”, peut-on lire dans ce communiqué.
La Turquie a souligné qu’elle soutient la politique de la porte ouverte de l’OTAN, mais cela doit être compatible avec la loi et l’esprit d’alliance des états souhaitant rejoindre l’alliance et non contre l’OTAN.
S’agissant des organisations terroristes, le Conseil national de sécurité pointe Feto en tête, avec le PKK/KCK-PYD/YPG, et soutient la lutte contre ces organisations terroristes conformément à la mémoire de l’accord contre ces groupes.
Concernant les valeurs saintes de milliards de personnes, le racisme anti-islamique, le Conseil national de sécurité note que les attaques dangereuses par cible sont fermement condamnées par la Turquie, alors que ses valeurs tirent aussi ses fondements de la liberté de religion, de conscience et de pensée, la démocratie et la liberté d’expression.
Pour la Turquie, ignorer les droits humains par ceux qui doivent enregistrer et protéger les droits, ces actions ne peuvent pas être utilisées, car ils ont participé à des crimes de haine.
Le Hautpanel